dimanche 9 septembre 2018

I'm not ready


Allo, j'ai 24 ans. Ayoye. On s'entend tu pour se dire que je ne suis pas rendu là pentoute dans ma vie. J'aimerais tellement revenir en arrière quand j'étais une cute petite ado qui ne devait pas s'empêcher de vivre. Je n'ai plus d'excuse pour ne pas me lever le matin, pour ne pas travailler, pour partir à l'aventure constamment des fois en dépassant complètement mes limites mais jamais sans respecter mon ressenti. Je me sens coupable de ne juste plus vouloir rien faire. J'ai envie de profiter.

Je ne supporte pas de me sentir enfermé. De me sentir coincé dans une routine de travail, dans une routine de patente à faire à la maison qui gosse. J'aimerais ça partir, mais pas ben loin, juste pour retourner sentir le vent frais d'automne en ville. Je trouve ça tellement dur de plus pouvoir avoir les cheveux dans le vent en me sortant la tête par le toit ouvrant. Je veux avoir 16 ans encore & aucune responsabilité pour me contraindre à être responsable.

J'ai une chance incroyable d'avoir la vie que j'ai présentement. D'avoir mon petit chez moi, un chum qui m'aime, des animaux plus que parfait, mon auto, mon permis, des médecins! hahah

Des médecins oui! T'sais du genre de ceux qui te diagnostique un TDAH au lieu d'un trouble de personnalité profond. Juste un TDAH qui te fait te sentir constamment fatigué parce que la vie c'est plate par bout. Parce que, mon dieu, C'est donc bien plus amusant de dormir pis rêver d'aventure que de vider la litière pis ranger son linge dans les armoires. Ils sont passé où mes rêves? Je capote un peu.

C'est loin pour moi le temps où je disais que je m'en sortirais juste en étant créative. C'est loin pour moi le temps où la créativité était awesome pis que je me voyais juste faire ça de ma vie sans que ce soit une corvée. C'est loin pour moi le temps où je partais toute la nuit pis que je revenais pour dormir pis que je repartais en milieu d'après midi avec ma caméra sous le bras pis full de makeup sur les yeux. C'est loin pour moi le temps où j'avais l'air pas mal trop excentrique pis que j'étais toujours partente pour rencontrer de nouvelles personnes. Le temps où j'aimais les gens avant de les juger pis de penser que jamais personne ne pourrait m'entertain assez pour que ça vaille la peine de me faire chier à créer des liens d'amitié.

Je les aime mes nouvelles pilules. Honnêtement. C'est comme de l'espoir en prescription de pharmacie. Comme si on me disait que finalement ce qui avait épuiser la source de mon inspiration était temporaire. Comme si j'allais retrouver le bonheur d'être passionné par quelque chose pis pouvoir me donner à fond.

Je ne veux pas vivre avec des restrictions. C'est dur. C'est trop dur. C'est d'une platitude d'avoir constamment peur de changer quelque chose pis que ça fasse tout basculer. C'est d'une platitude de s'ennuyer de même mais d'y trouver son compte à la fois. Je veux prendre mon char pis partir les fenêtre baissé, la musique au bout pis me sentir tellement libre pis revenir parce que je le voulais pas parce que j'avais peur.

Je suis pas capable d'admettre à quelle foutu point j'ai peur de vivre en vrai. Mais caline que j'en peux pu de mon cocon de platitudes réconfortantes négatives. J'suis pas prête à assumer mes 24 ans pis arrêter de rêver comme si j'en avais 16. Je veux ma pensé magique. Je veux ma pensé magique pis jamais retomber de mon nuage.



jeudi 7 décembre 2017

Voilà, on en est encore là.

Je ne pensais pas que ma vie d'adulte ressemblerait à cela. J'ai cru, de par ma merveilleuse pensée magique, qu'une fois adulte mes erreurs du passé ne me rattraperaient jamais. Qu'une fois parti je serais parti pour toujours. J'ai cru que ce serait simple et facile. Que l'argent pousserait dans les arbres et que je cultiverais mon petit bonheur d'amour et d'eau fraîche. Malheureusement c'est pas tant le fun que ça d'être une autruche.

Je sais que je n'aurais qu'à mettre deux ou trois efforts et que je cultiverais mon estime de moi-même & déplacerais des montagnes. Mais pourquoi je ne suis pas comme ça moi? Pourquoi est-ce que j'en suis venu à me dire que c'était moi qui avait mal viré. Pourquoi est-ce que c'est obligé d'être moi qui vire mal? Pourquoi est-ce que chaque effort est si épuisant dans mon monde à moi.

Plus jeune, je me suis souvent projeté dans l'avenir. J'avais si hâte d'être une adulte autonome & indépendante. Aujourd'hui je suis une grande enfant qui a tellement envie de retourner à l'école pis qui voudrait donc avoir été une adolescente responsable. Je sais que je pourrais être une adulte responsable mais présentement je suis une adulte déçue qui se demande ce qui en vaut vraiment la peine. Une adulte qui se demande si elle doit se faire violence pour s'en sortir sans trop courir après l'argent, l'amour & le temps. Une adulte qui n'est pas capable de se faire parler comme à une enfant et qui laisse tomber ses emplois parce qu'elle déteste profondément se faire dire quoi faire. Une adulte qui perd ses emplois parce que dès que quelqu'un essaie de l'obliger à se conformer elle abandonne et joue l'endurcis sarcastique haineuse.

OUI, OUI MADAME. JE LE SAVAIS QUE JE PERDRAIS MON EMPLOI PARCE QUE JE TE DISAIS QUOI FAIRE ET TU LE FAISAIS AU LIEU DE M'OBLIGER À LE FAIRE. OUI MADAME J'AI L'IMPRESSION QUE TOI-MÊME TU AS BESOIN QUE JE TE BOSSE PARCE QUE TU SAIS MÊME PAS TE SERVIR DE TA MACHINE LOTO.

Oui, oui madame. Je savais que ça se terminerait là parce qu'il était impossible pour moi de prendre au sérieux une femme qui rit de ma buick, qui rit de ma nouvelle ville, qui rit de mes capacités mais qui ne sait même pas ce qu'elle fait avec sa maudite machine de loto. C'est pour moi complètement impossible de vous écouter et de faire tout ce que vous me dites quand rien ne fait de sens à ma tête.

Je suis fâchée. Fâché contre vous mais contre moi aussi. Contre moi de ne pas être assez mature pour arrêter de jouer l'ado en crise d'identité. De ne pas être capable d'apprécier les jobs qu'on m'offre.

Madame, sachez que j'ai beaucoup pleuré dans le backstore. Moi, dans mon coeur, je n'en pouvais plus de perdre mon temps chez vous. Je trouve, personnellement, que ma vie & mon temps valent plus qu'un maigre salaire & des ordres à la con. Sachez, madame, que j'avais la rage en étant chez vous. Je détestais tellement ça. Le hic c'est qu'à l'heure d'aujourd'hui il faut de l'argent pour payer un loyer. Pour m'occuper de ma petite Agathe meow meow. Je sais que pour vous c'est stupide mais pour moi ma chatte c'est ma petite fille & elle compte terriblement sur moi pour ne pas l'abandonner et pour lui offrir de la nourriture mangeable et surtout une litière propre.

Vous savez, madame, j'avais beau vous trouver un peu déconnecté j'ai quand même essayé d'aller m'excuser ce matin pour l'inconvénient des manteaux pas zippé. J'étais pas convaincante parce que j'ai beaucoup de mal à mentir mais j'essayais juste vainement de sauver ma job. J'essayais juste vainement de ne pas me retrouver chez moi, à une heure & demi du matin, à m'hair de n'avoir jamais fini mon secondaire & d'être coincé avec des emplois dégradants.

Ô, comme j'aimerais que mon ancien patron sache que même si j'en avais marre je lui serai éternellement reconnaissante de m'avoir donné des responsabilités, de m'avoir appris, de m'avoir fait confiance. Je regrette tant de ne pas avoir su apprécier à quel point il a été gentil & valorisant avec moi.

C'est simplement que ce soir je suis déçue de moi. Je suis déçue. Amèrement déçue. J'aurais voulu être moins intense, moins... difficile. J'aurais voulu pouvoir me contenter des petites choses qui me donnent la chance de survivre. Mais non.. Moi je veux le beurre, l'argent du beurre, des chèvres, une maison, me marier pis donner une vie de rêve à mon chat. Pis que les gens que j'aime soient éternels.

Je ne veux pas avoir à choisir entre ma famille et ma maison simplement parce que je dois payer pis vivre sur terre dans un endroit qui me fait sentir chez moi.

Pis je me fais encore pleurer. Pis ce texte ne finira pas sur une note positive parce que... Parce qu'il serait temps que je commence à être positive mais.. je sais pas. J'ai peut-être peur de ne plus jamais ressentir de tels sentiments si je commence à être positive. J'ai peut-être peur de perdre ce qui fait de moi une petite personne authentique, unique.

J'ai envie de pleurer parce que c'est tellement réconfortant parfois de se sentir fragile. Mais je vous promets que je les envisage les éventualités positives. Que même si je pleure je vais aller porter des cv & essayer de voir si je peux aller finir mon secondaire. Parce que, même si je pleure comme un bébé, je pense que je m'aime assez pour croire encore en moi.

samedi 2 mars 2013

Réponds moi, où sont l'eau fraîche & l'amour? Tout les loups des alentours avaient tord, j'attend encore ton retour.

Bonjour/Bonsoir,

J'écoute présentement du Karim Ouellet. Plus précisement cette chanson; http://karimouellet.bandcamp.com/track/fox (Que j'écoute en boucle depuis au moins 1 heure).

Je n'ai rien de plus à dire. J'ai simplement envie d'écrire. J'ai réprimer mes envies d'écrire dernièrement & là j'ai juste envie d'aligner des mots de façon très (Trop) quelconque juste pour dire que j'ai finalement écris quelque chose (Aussi pourri cet article puisse-t-il être).

Puis je me disais qu'en écrivant, écrivant, écrivant j'allais peut-être finir par pondre quelque chose de potable mais visiblement non. Je n'ai absolument rien à dire. Je n'ai pas envie d'écrire à propos d'un sujet en particulier. J'ai juste envie d'écrire en général. Sans donner d'opinion, sans faire de critique, sans prendre de position. D'écrire quelque chose qui ne servira strictement à rien mais qui me fera quand même du bien.

Je suis drogué à l'écriture. Quand je commence je me sens décoller. Peu importe que j'écrive un gros ramassis de conneries ou quelque chose de poignant. On s'en fou. Je ne suis pas là pour discuter. Je ne suis pas là pour imposer une façon de penser. Je suis là seulement pour partager une vision; ma vision.

Je m'en suis voulu dernièrement de ne pas utiliser ma "belle plume" pour parler de sujet sérieux. Pour écrire des chroniques plus évoluer que pour raconter mes histoires d'amour déconfites. Je me suis longuement demandé si je n'usais pas l'écriture seulement comme moyen d’extérioriser lorsque la rage me ravage l'âme & le coeur. Non!

Mais non. L'écriture fait parti de moi. J'ai besoin de raconter. J'ai besoin de commenter. J'ai besoin de décrire la beauté, la laideur, le feeling. J'ai besoin de ça. J'ai longtemps cru que je changerais le monde avec mes mots mais je n'en suis plus si convaincu.

Puis j'ai cherché une façon d'user de l'écriture pour en faire quelque chose. Un métier peut-être, quelque chose qui me permettrait de vivre de ça & qui me permettrait de passer le reste de mes jours à écrire. Romancière, chroniqueuse, blogueuse; Rien ne me convenait. Ou alors, peut-être suis-je tout cela?

Je ne vivrai sûrement jamais de mes mots. Tout simplement parce que j'ai envie de faire autre chose aussi. Tout simplement parce que je n'ai pas ce qu'il faut non plus. Je n'ai pas toujours les mots qu'il faut. J'arrive à raconter vos peines, à mettre des mots sur vos douleurs, à vous faire rêver. C'est déja beaucoup trop merveilleux. Réussir à faire rêver au moins une personne. Réussir à lui faire dire "Je me reconnais dans tes écrits, j'ai l'impression de me lire. Tu as les mots qu'il me manquait. Tu as les mots justes". Oui, ceci me rend heureuse.

Et j'espère pouvoir fournir du rêve encore & encore. J'espère pouvoir écrire vos peines encore & encore. Pouvoir vous écrire des lettres, des déclarations d'amour, des mots d'encouragement. Pouvoir vous donner du courage & de la force encore.

Je sais bien que je ne fais de différence concrète dans la vie de personne. Que personne n'a d'illumination en me lisant & que personne ne se dit "Je change, je vais mieux, je me sens mieux". Je suis juste heureuse de pouvoir partager. De pouvoir vous faire ressentir quelque chose, de pouvoir vous raconter. Je suis fière de ça.

Bref, tout ça pour dire que demain sera décisif, un tournant. Que j'ai hâte presqu'autant que j'ai peur. J'espère franchement ne jamais perdre cette passion qui me fait vibrer. J'espère ne pas perdre la beauté dans ma folie. Puis j'espère surtout pouvoir raconter le monde encore & avoir cette perception des choses qui me permet de comprendre ce que les autres ne comprennent pas nécessairement.

Je veux avoir les mots, même si ce n'est pas toujours les mots justes. Je ne veux jamais perdre ces mots. Effectuez une prière pour moi.

Merci, bonne journée/bonne soirée/bonne nuit.

samedi 26 janvier 2013

"Je passais mes journées sur la plage à dessiner son doux visage, à boire du vin et à jouer la dolce vita."

C'est insensé! J'allais écrire le meilleur article de ma vie. J'allais entamer l'écriture d'un article qui avait pour sujet quelque chose de totalement insignifiant & j'allais prendre un plaisir fou à l'écrire. J'allais porter un jugement négatif sur vous, eux, enfin; les autres. Ceux dont le comportement m'insupporte. J'étais dans un mood de déesse toute puissante prête à émettre un jugement tranchant.

Puis, tout à coup, m'est venu de nul part les paroles de la chanson de Nicola Ciccone. Vous savez, "Ciao bella" (C'était un temps il y a longtemps, j'étais tout jeune, j'avais 16 ans..). Et, bien sûr, au lieu d'ignorer tout ceci & mettre du dubstep/rock à fond, j'ai continué de fredonner. Fredonner, fredonner jusqu'à ce que les paroles me reviennent complètement.

Ô fatalité, pourquoi? J'suis donc involontairement sorti de mon mood de demoiselle sur ses grands chevaux pour entrer lentement mais sûrement dans celui de l'imbécile-heureux. Et Nicola m'a conduit à Shy'm qui m'a remmenée à mon jeune temps (J'ai déjà été plus jeune, et oui).

Bref, tout ça pour dire que je suis présentement en train de me prendre pour une grande chanteuse face à mon laptop (Insérer une légère honte ici, mais soyons franc, tout le monde fait ça).

Et mon article ne s'écrira jamais.

Merci Nicola, grâce à toi internet est épargné. Tu leurs as évité un autre de mes moments de désagréable rage contre le monde. Et, surtout, tu m'as fais rater la chance d'écrire un truc SUPER qui m'aurait fait un nom en tant que semi-blogueuse. Merci du fond du coeur. Paix à ta musique.

Chapitre du recommencement du commencement laid du début des choses qui ont prit la tournure des trucs que j'entreprend habituellement. C'est à dire; aucune tournure.

Tout d'abord; Bonjour. Comment allez-vous? Non, franchement? Je m'en fou (Ou pas).

Ensuite je continuerais cet article avec un léger pétage de coche contre moi-même. Cette moi qui chiale contre les gens tout le temps pour absolument aucune raison qui soit valable. Et la plupart du temps je reproche à ces mêmes gens leurs comportements que je trouve franchement quétaines. Tout ça pour dire; WTF? "Révéler son nom tue le mystère". Mais quel mystère? Je ne suis personne, que moi. Alors je me dois de rectifier cet connerie des maintenant.

Sophie, 18 ans, canada.

C'est tout ce qu'il y a à savoir. D'accord, ce n'est pas complètement "tout" mais c'est déjà bien assez.

Pour continuer sur ma lancée, j'ai décidément laissé mourir ce blog. Toujours sans aucune raison valable. La vérité se résume au fait que je n'ai absolument rien d'intéressant à dire. Ma culture générale est une honte pour tout blogueur qui se respecte. (Cela vient peut-être du fait que je regarde beaucoup trop de séries télé abrutissantes & que j'aime mieux danser que m'informer sur autre chose que ce qui fait le buzz sur internet.)

J'ai honte. Non, franchement. J'aurais voulu pouvoir discuter politique avec vous. Mais vous savez, ce moment où on a le journal & l'ordi devant soi & au lieu d'aller s'informer on va faire des sudoku ou regarder des vidéos de fille qui bouffe son tampon. (J'allais écrire un truc vraiment louche. Soit, n'allez jamais regarder ça. C'est répugnant & ça n'en vaut juste pas la peine. Pouvoir dire "Oui, moi je l'ai vue" te fait juste paraître masochiste.)

Tout ça pour dire que je n'ai jamais pris le temps (Comme pour tout d'ailleurs).

 Mais je possède tout de même la capacité à établir un jugement qui tient la route (ou pas) & analyser les choses. Amen, j'ai au moins ça pour moi.

Alors je crois être en mesure de vous fournir du contenu abrutissant & sans aucun intérêt comme personne d'autre avant moi aura su le faire! Et si le contraire se produit, croyez moi, ce sera bien malgré moi.......

Tout cela pour dire que je risque d'avoir une surdose de motivation & poster une tonnes d'articles tout d'un coup pour critiquer la plupart des choses que j'aime bien critiquer. (Le contraire pourrait être tout aussi probable. Je pourrais simplement publier ceci & ne plus jamais revenir..)

Vous verrez (Si vous avez à voir..) j'ai des opinions bien arrêté (Et parfois un peu injuste). Mais, mon dieu, disons les choses telles qu'elles sont. Bref, je vous reviendrai la dessus (Ou pas. J'ai une idée d'article mais je n'ai pas envie de le faire à la butch & de gâcher ce merveilleux sujet que je viens de me trouver).

Bonne journée! Bonne soirée! Bon appétit & surtout pas de pizza avant de dormir, ça fait faire des cauchemars où l'un de vos amis veut vous assassiner & où un autre vous aimes (expérience vécu). Ciao!

Et ça c'est moi..... (C'est ma photo la plus flatteuse, je vous l'assure. Prenez moi donc pour une folleeee! J'avais juste envie de poster une photo "webcam" puis j'ai vue cette merveilleuse photo-dossier. Bref. Pensez donc ce que vous voulez!)  (J'ai changé la photo, vous n'aurez jamais connaissance de qu'elle était cette photo qui m'a tant fait perdre mon temps. Mwahahaha.)

lundi 20 août 2012

Juste en attendant le commencement.

Parce que je suis pas assez bright pour m'ouvrir un site web payant.

L'écriture étant tout ce qu'il me reste, je me lance donc dans l'ouverture de ce blog qui, j'en ai peur, sera laissé un peu à l'abandon.

Je n'en suis point à mon premier blog, par contre. J'en possède depuis l'âge de pierre des blogs. Le fait est, j'ai envie d'écrire des chroniques un peu moins "too much". Je veux dire par là que tenir un blog où j'y poste des textes ressemblant à ceux d'un journal intime, avec 13 millions de photos de ma personne, ne m'intéresse plus. J'ai envie de chroniques un peu plus (ou beaucoup moins) sérieuses.

Sur cette petite présentation qui laisse plus ou moins à désirer, je vous laisse. Nous verrons bien si je décide d'entretenir ce blog ou de le laisser mourir. (J'opterais franchement pour la première option si je n'étais pas si.. lâche.)

PS; Soit dit en passant, histoire de mettre un nom sur "Dudeaufeminin" (Qui se dit; Dude au féminin), je me nomme dfvzfkdsabfjhajf. (Mettre un nom sur un blog tue le mystère, & ce même si je sais très bien que mon nom est inscrit juste sous l'article..)

Bonne journée!